par André Habib
et
Le cinéma qui nous veut du bien
par Nicolas Renaud
dans Hors Champ
À propos de la léthargie cérébrale de la critique et de la production de cinéma québécois profitant aux logiques de marché. Avec Polytechnique de Denis Villeneuve pour exemple. L’enjeu est d’autant plus important avec ce film du fait qu’il touche à un événement important de la mémoire collective. Au contraire d’autres coquilles vides auxquelles on pourrait reprocher de ne pas travailler le corps de l’identité québécoise, ce film en annule un de ces éléments constitutifs.
Dommage que les propos toujours lumineux tenus dans cette revue électronique tombent quasi systématiquement dans les abysses alors qu’ils tentent sans détours de secouer les divers actants du cinéma, qu’ils soient créateurs, critiques, producteurs ou spectateurs.
Merci M. Aubray pour ce lien. Le cinéma québécois est très talentueux. Malheureusement, il semble qu'on cache ces talents au profit des films de producteurs à l'esthétique hollywoodien-publicitaire-vidéoclip. Bien beau le divertissement sans goût mais ce n'est pas avec cela qu'on va passer à l'histoire.
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